Dans Yellow scream (2012), parodie de leçons télévisuelles par Kim Beon, un homme en chemise grise explique comment chaque hurlement poussé en posant le pinceau sur la toile s’incorpore au tableau.
En anglais:
“The technique to this painting is to incorporate the sound of screams into the brush strokes. [...] A brush stroke done with screaming is very different from a normal one. [...] The effect of the screams is recorded with the brush strokes.” (Cf. ici)
En français:
« La technique utilisée pour cette peinture est d'incorporer le son du hurlement dans les coups de pinceaux [...] un coup de pinceau donné avec un cri est très différent d'un coup de pinceau normal. L'effet du cri est enregistré dans tous les coups de pinceau. » (Cf. là)
Voilà, posé en quelques touches, le problème du lyrisme flaubertien.
Excipit le gueuloir de Séoul
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